Live Report : Synthzilla #2 Preparty / Dance With The Dead + Confrontational + Artemus Gordon + Malmö (18.09.2016) La Marquise

Bigre, quelle rentrée chargée pour la fine équipe des G-Spots ! Entre notre "nouveau départ", la refonte du blog et la préparation en amont de cette toute première couverture médiatique, la bande des G-Spots n'a pas chômé et s'est démenée pour vous proposer un début de saison 4 avec des contenus plus fournis et des formats plus variés.

Franchement, bien loin de nous l'idée de nous jeter des fleurs ou de nous la péter outre mesure, mais quand même l'internaute, rends-toi compte, quel beau début de saison ! Et c'est au Synthzilla Festival à qui l'on doit cette (r)entrée en fanfare. Festival lyonnais rapidement devenu incontournable pour toute personne un tant soit peu sensible à toute cette new-retro-wave, les G-Spots ont eu la chance de couvrir cet événement unique en son genre et vous proposent aujourd'hui de vous immerger dans cet univers si particulier à travers des interviews, des articles et des vidéos promo de la Préparty du Festival.

Mais pour l'heure, il est temps de se replonger via un live report signé par le Sergent Fractal et Terminatar dans l'ambiance chaleureuse de cette préparty dont l'affiche, il faut le dire, ne laissait envisager que du bon, du sale, du lourd, bref de la bagarre !

Photos : Synthzilla Preparty @ La Marquise 18/09/16

Les voilà enfin ! Vos humbles serviteurs des G-Spots étaient sur le pont de la péniche La Marquise à Lyon en ce 18 septembre 2016 pour la préparty du Synthzilla Festival. Le dino fête ses deux bougies ! Découvrez toutes les photos de l'évènement en cliquant sur les images ci-dessous!

Toutes les photos ©Damien Renard

Interview : Malmö, la touche electronica du Synthzilla (Fr + Eng)

À l'occasion de la deuxième édition du festival Synthzilla, les G-Spots vous offrent une couverture complète de l'événement (photos, live reports, vidéos) ainsi que la possibilité de découvrir ou mieux connaître les artistes présents à travers des interviews avec des gens plutôt sympathiques. À commencer par le Parisien Malmö, qui offrait pour l'ouverture de la préparty qui avait lieu le dimanche 18 septembre à la Marquise, à Lyon, un DJ set faisant rimer électronique et atmosphérique.

Entre son lien avec les paysages nordiques, la scène synthwave dans laquelle il s'est retrouvé plongé au moins le temps d'une soirée, voire la scène électronique française en général, nous avons cherché à tout savoir sur ce qu'il y avait derrière ces cinq lettres et un tréma.

For our english readers, english version below. 

Interview: Dance With The Dead at Synthzilla Festival Preparty

Headliners of this 2nd edition of Synthzilla Festival preparty, Dance With The Dead set the stage of La Marquise on fire this 18th September.

We are proud to present an exclusive interview with Tony & Justin!

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For our french readers, french translation will be available soon.

Interview : Confrontational at Synthzilla Festival preparty

We are proud to present the interview we had the chance to make with Confrontational during the Synthzilla Preparty!

Views on cinema, synthwave aesthetic and of course music... Terminatar & Cerebra present an exclusive chat with Massimo.

Check it out!
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Interview : Artemus Gordon à la Synthzilla Festival Preparty

Interview avec Artemus Gordon, à l'occasion de la préparty du Synthzilla Festival qui a eu lieu ce 18 septembre à la Marquise.

Cerebra & Terminatar vous propose une discussion autour de la scène synthwave, des extraterrestres et des nanars!

Check it out!
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Retrouvez Artmus Gordon sur facebook.

Interview: M A L M Ö / Synthzilla Festival Preparty

Nous vous en parlions ici, nous sommes heureux de couvrir le big dino qu'est devenu le Synthzilla Festival, premier festival de musique synthwave & chiptune.

Terminatar et Cerebra ont eu à cette occasion le grand plaisir d'interviewer M A L M Ö, qui était à l'affiche de la preparty du 18 septembre à la Marquise.

Inspiré des paysages sonores des pays du Nord, M A L M Ö est un jeune artiste parisien. Véritable invitation au voyage avec sa techno progressive feutrée proche de l’ambiant, il a proposé en entrée de soirée un Dj set synthwave qui a prouvé son efficacité au sein du public de la Marquise.

Ça se passe ci-dessous!
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Retrouvez M A L M Ö sur souncloud, facebook, bandcamp et sur son site !

Kraftwerk : les parangons de l'homme-machine

Alors que le Synthzilla Fest se rapproche, il est bon parfois que le Docteur vienne vous faire une petite piqûre de rappel au sujet d’un groupe ayant contribué à la reconnaissance populaire de la musique électronique au sens large, tout en lui conférant une imagerie futuriste forte, entre hommes-machines, néons à foison et images de synthèse vintage. Initialement abordé dans notre émission spéciale Robots, Kraftwerk a donc droit à sa petite chronique en version écrite.

Le Mois Bagarre / Synthzilla 2016: The G-Spots on board!

Si comme nous, vous aimez les évènements avec de l'amour dedans et qui mettent en avant une scène pas toujours soutenue par les médias mainstream mais rameutant un joyeux mélange de fans, vous avez forcément entendu parler du Synthzilla Festival !

Et tout ça en attirant un public varié aussi bien en terme de goûts musicaux que d'âge. Balèze le dino.

Rise Above Records : tout le portrait de Lee Dorrian

Il y a chez les Allemands et principalement dans leur musique, un je-ne-sais-quoi de... pachydermique. Bon, tout le monde acquiescera sur les qualités indéniables du Krautrock de Can et Amon Düül II, les expérimentations du Alpha Centauri de Tangerine Dream ou d'Ash Ra Tempel. En revanche, on restera plus mitigé quant aux hurleurs de Scorpions, Accept, ou Edguy, exhibant fièrement spandex, mulets, et choucroutes (bien loin de l'esprit de Goethe, n'est ce pas ?).

De son coté, l'Angleterre s'est toujours montrée plus raffinée, distinguée. Distillant de ci de là ses influences gothiques ou romantiques directement héritées de William Blake et Lord Byron. En sont témoins les Sisters Of Mercy, Nick Drake ou autres proto-doomeux comme Pagan Altar.

Force est de constater que ces deux exemples ne sont pas des modèles, mais quelle meilleure manière de montrer le paradoxe entre les géants teutons de Nuclear Blast, et le timide label indépendant de Rise Above Records (certes ma comparaison était un peu capillotracté, mais elle vous aura laissé comme deux ronds de flan) ?