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samedi 13 mai 2017

Handicap et musique électro : le cas BrutPop


Il y a un mois, j’évoquais l’œuvre de Bruce Haack et notamment son accomplissement dans le domaine de l’éveil musical des enfants. Dans la version vinyle de Bite, le dernier album studio sorti du vivant de l’artiste, était inclus un livret à destination des enseignants pour apprendre à utiliser les machines électroniques comme outil pédagogique. Et en 2005, sortait une compilation-hommage à l’œuvre de Haack, Dimension Mix, dont les profits étaient reversés à un fonds d’aide aux enfants atteints d’autisme.

samedi 18 mars 2017

L'évangile selon Bruce Haack


Après avoir exploré le thème du folklore à travers ce thérémine humain qu’était Yma Sumac, je ne pouvais pas trouver meilleure transition que Bruce Haack pour aborder le thème Enfer et Paradis de ce mois de mars 2017. Car c’est justement à travers la musique folklorique (d’abord est-européenne puis du reste du monde) que le gars s’est forgé sa culture musicale… avant d’expérimenter le peyotl auprès des autochtones, ce qui va également avoir une certaine influence sur son travail.

vendredi 17 mars 2017

Enfer et Paradis


Depuis quelques mois, l'équipe des G-Spots s'attache à vous faire voyager. Du Désert à l'Europe de l'Est et ses folklores, des zones obscures de l'occulte à ce dernier thème qui nous emmène vers des contrées faites d'espoir et d'angoisse : le Paradis et l'Enfer.

samedi 4 mars 2017

Folklore, peuples, mythologies contemporaines : cinq piliers

Kriemhild se jetant sur le corps de Siegfried, Johann Heinrich Füssli


Comment aborder le folklore, ce fait humain si singulier qui relève du "génie" de chaque peuple, sans passer par la production artistique, et mieux encore, par l'assimilation des faits folkloriques anciens par notre société contemporaine?

mardi 28 février 2017

Bartok et le folklore comparé : un humaniste face au nationalisme


Comme l'a très bien dit notre bel Amiral dans son article annonçant le thème du mois, chez les G-Spots on aime aborder la musique par arborescence, et plus c'est sinueux plus ça nous botte. Assurément, avec le thème de ce doux mois de février, on tape une fois de plus dans le mille : le folklore.

Folklore, folklore... j'ai fait tourné ce mot dans ma caboche des semaines et des semaines sans jamais vraiment en saisir le sens exact. Plusieurs images se sont succédées : des femmes slaves avec des rubans de toutes les couleurs dans les cheveux, des costumes, des recettes, des pas de danse bien spécifiques... Des créatures sublimes et terrifiantes des mythe et légendes, en passant par des notions un peu plus concrètes comme l'intelligence paysanne, le folklore semble se matérialiser sous tellement de formes différentes qu'il en devient difficilement identifiable. 


lundi 20 février 2017

Yma Sumac, la diva mutante


Comme d’habitude, votre cher Docteur ne peut s’empêcher d’aborder chaque thématique mensuelle d’une manière détournée. Le fan de cartoons a depuis belle lurette contaminé sa vision des choses, le poussant toujours à chercher du côté de l’interprétation grossie à la loupe et du schéma ludique qui saisit l’essence des choses par quelques traits bien tracés.

dimanche 19 février 2017

C'est folklo' !


Comme chaque mois les G-Spots se lancent dans un thème, mettent en lumière un aspect du monde multifacette, polychrome et cosmopolite de la musique. Et pas seulement de la musique actuelle. Toute la musique enregistrée depuis plus d'un siècle est notre sujet. Mais cette fois nous poussons encore plus loin en explorant le coeur éternel de la grande sphère musicale voire culturelle dans laquelle nous gravitons tous depuis notre naissance même sans parfois nous en rendre compte : le folklore.

samedi 31 décembre 2016

Depeche Mode : intime et intemporel



Cet article correspond à la version écrite de la chronique audio enregistrée pour notre podcast du mois "Le commercial c'est pas si mal".

 A l'occasion de ce mois placé sous le signe du commercial, du rentable, du papa Noël et de coca-cola j'avais, pour ma part, envie de creuser un peu le côté superficiel voire putassier que ce genre de thème - et donc de musique - peut suggérer. J'ai donc décidé de gratter un peu la surface pour me concentrer sur l’un des aspects que je trouve intéressent à creuser et qui découle directement de ce thème « commercial », à savoir la culture, et la musique populaire au sens très noble du terme.

lundi 19 décembre 2016

Shake, shake, shake : éloge de l'insouciance


Cet article correspond à la version écrite de la chronique enregistrée pour notre prochain podcast, disponible très bientôt, sur la thématique "Le commercial, c'est pas si mal".

Ceux qui connaissent l’Animal savent la musique qui le fait vibrer, mais ceux qui le connaissent vraiment savent quelle musique le fait bouger, danser, shaker son booty. Car l’album qui a le plus marqué ma molle jeunesse n’est nullement un classique de Deep Purple, l’éponyme de Black Sabbath ou quelque obscure vinyle d’un groupe de rock psyché allemand des années 70, mais l’un des albums les plus vendus de tous les temps, que dis-je : un double-album, quinze fois disque de platine aux Etats-Unis où il a été en tête des charts pendant 24 semaines d’affilée en 1978, plus de deux millions d’exemplaires vendus en France comme en Grande-Bretagne. Ca, c’est du succès commercial ! Surtout pour une bande originale de film. Je vous parle bien sûr de Saturday Night Fever, de John Travolta en slip imitant Bruce Lee devant la glace ou marchant au rythme des Bee Gees dans les rues de Brooklyn en pantalon pattes d’eph’ et chemise col pelle à tarte. 

mardi 13 décembre 2016

La Phase Fractale - Itération #4 : Anaal Nathrakh - The Whole of the Law



Une fois n'est pas coutume, je m'attèle à la tâche d'écrire une chronique d'album, d'un groupe que j'aime beaucoup, Anaal Nathrakh avec leur dernière ogive nucléaire en date, The Whole Of The Law, larguée fin octobre via Metal Blade Records.

lundi 12 décembre 2016

Apollo 440 et le chat qui descendait l'escalier


Évoluant dans le domaine de la sphère électro, il était difficile – voire impossible – pour votre serviteur de passer à côté de ce qui fut probablement l’un des genres les plus populaires de ce domaine, celui-là même qui a su réconcilier en un seul mouvement les adeptes du séquençage sonore et les amateurs de l’énergie brute du rock’n’roll. Déluges de guitares, rythmiques acérées et samples à foison, le big beat a marqué la seconde moitié des années 90 en s’érigeant en pur manifeste de la démesure musicale, brassant toutes les influences possibles et imaginables au service du fun avant tout. Et le résultat fut une énorme percée commerciale pour l’électro par les majors qui ont flairé le potentiel et ont élevé le big beat en objet fédérateur, véhiculé par les albums bien sûr mais aussi par les bandes-son de films, de séries et d’émissions télé.

dimanche 27 novembre 2016

Jaz Coleman : symphonie, fugue et sable chaud


Si pour certains le monde du rock est peuplé de cols bleus, ou d’individus issus de basse classe sous-éduqués qui peuvent avoir la chance de faire fortune avec un seul tube basé sur les deux seuls accords qu’ils ont été capables d’apprendre à la guitare, alors balayons vite cette idée. Le monde du rock est peuplé de personnes hors du commun qui ont fait le choix un peu fou de mener une vie d’artiste. Parfois même de personnes un peu folles, hors du commun et avec une éducation musicale supérieure.

Aujourd’hui, nous vous conterons une histoire qui s’est déroulée dans le roi des déserts dont le héros s’appelle Jaz Coleman. Plus connu pour être le leader du groupe anglais de rock industriel Killing Joke, il est aussi un compositeur de musique contemporaine et auteur de nombreuses symphonies et de réarrangements pour orchestre de musique de groupes comme Pink Floyd, Led Zeppelin ou The Doors. 

lundi 21 novembre 2016

Les plaines sonores de Ricardo Villalobos


Dans le désert, personne ne vous entendra prêcher… ou alors on n’entendra que vous, c’est au choix. Car si le désert se caractérise par l’absence humaine, cette sensation de vide qui englobe et absorbe celui qui s’y trouve, il suffira d’une seule aspérité, aussi petite soit-elle, pour mobiliser l’attention ; comme dans une composition picturale, le vertical émergeant de la ligne d’horizon l’emporte toujours sur l’horizontal.

Toutefois, nous ne parlerons pas ici d’aspérité comme salvation ou point de chute mais bien comme élément perturbateur. Où l’espace désertique devient harmonie, l’errance transe chamanique et le vide un épanouissant abandon de soi. Un espace rappelant que le vide n’est pas l’opposé de la musique mais bien son prolongement, où le silence est la toile blanche sur laquelle vont s’articuler les éléments pour former une œuvre.

vendredi 18 novembre 2016

Rotting Christ : franchir les rives du Styx


Après ces longs mois consacrés à la synthwave et au chiptune, il est maintenant temps pour l'aventureux staff des G-Spots de vaguer vers de nouvelles contrées musicales. Comme l'Amiral Animal l'a très bien dit dans un article annonçant le thème du mois : novembre c'est le vide, le froid, bref, la désolation. Une espèce de période de transition morose et humide dont les activités les plus stimulantes consistent à fleurir la tombe de papy Ghislain et à raquer taxe foncière et redevance télévisuelle. Preuves, s’il en fallait encore, de l'insondable degré de nullité du onzième mois de l'année. Histoire d'échapper au marasme post-rentrée et pré-Noël, les G-Spots ont décidé de s'octroyer une petite traversée des déserts bien méritée.

Pour ma part, au lieu de passer cette funeste période de novembre à me morfondre dans l'antre de mon plumard, j'ai décidé de consacrer mon temps et mon énergie à des activités plus constructives en me relogeant dans la discographie de l'un de mes groupes de prédilection : Rotting Christ. Parce que ouais, après avoir remué frénétiquement mon boule sur le dancefloor du Synthzilla Festival, j'avais l'envie - le besoin ? - de me recentrer en m'abreuvant de musique plus obscure, plus propice à l'introspection et à la spiritualité. 


lundi 14 novembre 2016

Interview Dan Terminus @Synthzilla Festival 2



Petite entrevue avec Dan Terminus, présent avec un DJ Set lors de la soirée Indie Game Night du Synthzilla Festival.

vendredi 4 novembre 2016

Live Report : Synthzilla Festival #2 - Jour 2 (22.10.2016) au Jack Jack


Caché à l'écart du circuit habituel des salles de l'agglomération lyonnaise, le Jack Jack, salle de concerts insérée dans la MJC Louis Aragon de Bron, accueillait le 22 octobre 2016 les porte-étendards d'une scène émergée du cyberespace il y a seulement une poignée d'années : la synthwave (ou retro-synthwave).

Une demi-douzaine de représentants du genre, avec en tête l'un des plus fameux, GosT, étaient réunis pour la deuxième édition du Synthzilla, premier festival français de synthwave et chiptune, au lendemain d'une première journée consacrée au jeu vidéo indépendant, aussi lié à ce style musical.

N'ayez pas peur du gros lézard et venez faire la bagarre, on vous raconte tout ça.

mercredi 2 novembre 2016

Live Report : Synthzilla #2 Jour 1 / Indie Game Night (21.10.2016) AFK Bar


Le chapitre final de notre mois " Synthwave" a commencé, et il est temps de vous conter ce qu'il s'est passé pendant cette première soirée du Synthzilla #2, à savoir l'Indie Game Night.


Photos: Synthzilla #2 + Indie Game Night


Les photos de la seconde édition du Synthzilla Festival sont enfin là!
Découvrez toutes les photos de l'évènement en cliquant sur les liens ci-dessous.

Photos Indie Game Night ©Chaf / Bad Taste Factory
Photos Jack Jack 22 octobre ©Damien Renard

jeudi 13 octobre 2016

Interview : Zackarose colore l'électro en blues


Découvrir Zackarose est ce que l'on peut appeler un heureux hasard. C'est en cherchant, pour notre émission "Fusions et Transgenres Musicaux" de juillet dernier, un artiste qui fait se fondre deux genres quasi opposés - l'un teinté de vieille tradition, l'autre de la plus grande modernité -, le blues et l'électro, que nous avons eu la chance de tomber sur lui. Et quelle veine : comme notre équipe, notre trouvaille est basée à Lyon. Il était donc impératif pour nous de le rencontrer pour en savoir plus sur lui.

mercredi 12 octobre 2016

Interview : Dance With The Dead, entre creepshow et comic book (Fr + Eng)




A l'occasion de la deuxième édition du festival Synthzilla, les G-Spots vous offrent une couverture complète de l'événement (photos, live reports, vidéos) ainsi que la possibilité de découvrir ou mieux connaître les artistes présents. Nous avons eu le plaisir de causer avec les américains de Dance With The Dead, tête d'affiche de cette preparty.

Interview avec Justin et Tony autour de la musique, de la guitare, du creepshow et des comic books!

For our english readers, english version below.