Et nous continuons notre tour d’horizon autour des rencontres entre rock stars et jeux vidéo. Si la première partie faisait principalement étalage des déclinaisons d’univers musicaux en produits dérivés plus ou moins boiteux, la sélection qui suit va davantage se concentrer sur la chose vidéoludique en tant que pont entre les différentes formes d’expression artistiques.
lundi 29 août 2016
mercredi 24 août 2016
Musiques & Effroi
La musique, en tant que médium artistique, marque au fer rouge les sensations. Que serait un film de Dario Argento sans les mélodies troublantes des Goblin ? Les plongées futuristes urbaines du cher John Carpenter sans sa patte musicale ? Kubrick sans Strauss ?
dimanche 21 août 2016
Le Cabinet du Docteur Slapstick : rock stars et jeux vidéo (1/2)
En tant qu’espace de création subversif tourné vers la jeunesse (ou du moins vers l’insouciance à laquelle la jeunesse est d’ordinaire associée), le rock a jeté son voile sur l’ensemble de la culture pop, à commencer par le cinéma et la bande dessinée. Et naturellement, le domaine du jeu vidéo n’y fait pas exception. Depuis sa démocratisation dans les foyers, le médium vidéoludique n’a cessé de marcher main dans la main avec les personnalités du rock, que ce soit pour les décliner tels des objets de licence purs et simples ou livrer des interprétations interactives d’univers musicaux.
vendredi 19 août 2016
The Young Gods: du collage à la fusion
Si vous avez prêté une oreille au dernier podcast récemment mis en ligne par les hautes autorités des G-Spots, vous m'avez très certainement entendue faire l'éloge de ce groupe suisse qui - et je suis prête à miser gros là-dessus - n'avait jamais ne serait-ce qu'effleuré l'esgourde du mélomane avide de curiosités que vous êtes. Point de honte à avoir, on ne peut pas dire que les Young Gods soient particulièrement populaires. C'est un groupe que j'ai moi même découvert sur le tard mais qui, très rapidement, a pris une place centrale dans mon panthéon musical personnel.
mardi 16 août 2016
Les jolies colonies de l'intolérance
Autant vous dire que ce matin, le Captain s'est levé... du mauvais pied... Ha, et du coup, oui, c'est gênant, moi qui voulais vous compter fleurette sur les sentiments qu'avaient fait éclore dans le cœur de votre serviteur l'écoute du dernier projet heavy-free-jazzcore (à tendance glouglou quand même) de John Zorn, ou les exploits des cosmonautes-hippies d'Oranssi Pazuzu, déversant leur space / black metal cosmique dans tous les recoins de la Californie épargnés par les Hell's Angels d'Altamont. Ou encore tout simplement de la soul de qualité redécouverte sur les albums solo de Paul Weller.
Tout un programme, me direz-vous, mais non... il fallait que le destin s'acharne sur votre pauvre Nightfly comme la chtouille sur un membre de Motley Crüe (je parle d'un musicien bien sûr) et le fasse retomber dans les méandres de sa mauvaise humeur habituelle. Qu'a-t-il bien pu lui arriver pour finir dans un état pareil ? Le Sergent Fractal n'a pas fini mes corn-flakes du petit déjeuner et je n'ai pas eu à supporter les élucubrations de Terminatar sur la supposée qualité du hummus grec (tout le monde sait que l'israélien est meilleur, car moins crémeux)...
jeudi 4 août 2016
Le Cabinet du Docteur Slapstick : Parappa the Rapper
Je ne vous apprendrai rien en vous disant que la notion de rythme en musique, c’est comme pour tout : ça s’apprend. En général, durant l’école maternelle lors de comptines accompagnées de jeux de doigts ou d’exercices de gymnastique… autant d’activités qui font travailler la coordination de nos mouvements et dont l’accomplissement, maladroit et touchant, se déroule lors du spectacle de fin d’année sur un choix musical douteux. Et puis on grandit, on commence à se forger une culture musicale… peut-être même commence-t-on à la pratiquer.
mercredi 3 août 2016
Les G-Spots : nouvelle ère
Par cet acte, les G-Spots déclarent leur indépendance. Par rapport à qui, à quoi ? En deux mots : Radio Metal.
Une telle déclaration peut être vue comme un acte violent. L'Histoire l'a souvent démontré. Il s'agit bien souvent d'un arrachement, d'une coupure. Ce n'est pas le cas ici. La séparation se fait sans heurt ni douleur.
Déclarer son indépendance, c'est aussi déclarer que l'on n'a plus besoin de cette entité tutélaire, nourricière parfois, plus grande que nous, mais qui ne nous ressemble plus tellement. Qu'il est temps de sortir d'un état juvénile, larvaire, pour s'envoler vers un nouvel état, évoluer pour entrer dans un nouvel âge et dévoiler son potentiel.
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