samedi 31 décembre 2016

Depeche Mode : intime et intemporel



Cet article correspond à la version écrite de la chronique audio enregistrée pour notre podcast du mois "Le commercial c'est pas si mal".

 A l'occasion de ce mois placé sous le signe du commercial, du rentable, du papa Noël et de coca-cola j'avais, pour ma part, envie de creuser un peu le côté superficiel voire putassier que ce genre de thème - et donc de musique - peut suggérer. J'ai donc décidé de gratter un peu la surface pour me concentrer sur l’un des aspects que je trouve intéressent à creuser et qui découle directement de ce thème « commercial », à savoir la culture, et la musique populaire au sens très noble du terme.

lundi 26 décembre 2016

Podcast décembre 2016 : le Commercial, c'est pas si mal


Après avoir bien dépensé tout nos sous en cadeaux qui seront très prochainement remisés dans une armoire et en nourriture riche et boissons qui auront bientôt fini de traverser notre système digestif, nous nous rendons compte que ce que nous préférons avec la période de Noël, bien au-delà des impératifs de consommation, c'est de partager un moment avec des personnes qui nous sont chères.


lundi 19 décembre 2016

Shake, shake, shake : éloge de l'insouciance


Cet article correspond à la version écrite de la chronique enregistrée pour notre prochain podcast, disponible très bientôt, sur la thématique "Le commercial, c'est pas si mal".

Ceux qui connaissent l’Animal savent la musique qui le fait vibrer, mais ceux qui le connaissent vraiment savent quelle musique le fait bouger, danser, shaker son booty. Car l’album qui a le plus marqué ma molle jeunesse n’est nullement un classique de Deep Purple, l’éponyme de Black Sabbath ou quelque obscure vinyle d’un groupe de rock psyché allemand des années 70, mais l’un des albums les plus vendus de tous les temps, que dis-je : un double-album, quinze fois disque de platine aux Etats-Unis où il a été en tête des charts pendant 24 semaines d’affilée en 1978, plus de deux millions d’exemplaires vendus en France comme en Grande-Bretagne. Ca, c’est du succès commercial ! Surtout pour une bande originale de film. Je vous parle bien sûr de Saturday Night Fever, de John Travolta en slip imitant Bruce Lee devant la glace ou marchant au rythme des Bee Gees dans les rues de Brooklyn en pantalon pattes d’eph’ et chemise col pelle à tarte. 

mardi 13 décembre 2016

La Phase Fractale - Itération #4 : Anaal Nathrakh - The Whole of the Law



Une fois n'est pas coutume, je m'attèle à la tâche d'écrire une chronique d'album, d'un groupe que j'aime beaucoup, Anaal Nathrakh avec leur dernière ogive nucléaire en date, The Whole Of The Law, larguée fin octobre via Metal Blade Records.

lundi 12 décembre 2016

Apollo 440 et le chat qui descendait l'escalier


Évoluant dans le domaine de la sphère électro, il était difficile – voire impossible – pour votre serviteur de passer à côté de ce qui fut probablement l’un des genres les plus populaires de ce domaine, celui-là même qui a su réconcilier en un seul mouvement les adeptes du séquençage sonore et les amateurs de l’énergie brute du rock’n’roll. Déluges de guitares, rythmiques acérées et samples à foison, le big beat a marqué la seconde moitié des années 90 en s’érigeant en pur manifeste de la démesure musicale, brassant toutes les influences possibles et imaginables au service du fun avant tout. Et le résultat fut une énorme percée commerciale pour l’électro par les majors qui ont flairé le potentiel et ont élevé le big beat en objet fédérateur, véhiculé par les albums bien sûr mais aussi par les bandes-son de films, de séries et d’émissions télé.

dimanche 4 décembre 2016

On se sent pas si mal à la messe commerciale


Tu te sens anticonformiste, limite altermondialiste, parce que tu dénonces, depuis que tu t'es découvert un esprit rebelle en même temps que tes premiers boutons d'acné, la grande machination commerciale qui gouverne les fêtes de Noël ? Néanmoins, tu fais la tronche quand tu ne trouves pas le dernier smartphone ou la console de jeu dernière génération au pied du sapin... Allons, avoue que le commercial, c'est pas si mal !